7.10.06
Si se salva tengo cava para brindar. Gracias x vuestro esfuerzo y trabajo.
Koro
_____________________________________________________________________________________
Me alegro mucho. Seguid acudiendo a los organismos más adecuados y a ver si se
puede hacer algo por las vías institucionales o montar un verdadero escándalo,
que es lo que se merece el ídem de descatalogar y vender el patrimonio del
Estado para cubrir agujeros negros y beneficiar a los amigotes.
Os envío un enlace con un semanario de Bélgica que no tiene pelos en la lengua
sobre lo que están haciendo aquí con el patrimonio.
http://www.levif.be/CMArticles/ShowArticle.asp?articleID=1438§ionID=2
Os copio, de él, la parte que se refiere al patrimonio:
Le patrimoine immobilier ? dilapidé !
Mais en quoi consistent ces opérations qui hypothèquent ainsi les finances
futures de l'Etat belge ? Elles sont nombreuses, mais les plus scandaleuses
sont celles qui concernent la vente des bâtiments publics.
Depuis tout un temps,
le gouvernement dilapide littéralement le patrimoine immobilier du pays.
Premier gestionnaire et propriétaire public, la Régie des bâtiments, organisme
parastatal, possède plus de 1200 immeubles répartis sur tout le territoire et
correspondant à quelque 5 millions de mètres carrés.
Certains, telle la Cour
des comptes, sont de véritables joyaux architecturaux et des morceaux
d'histoire. Or ces dernières années, ces bâtiments se vendent comme des petits
pains. Et pas aux meilleures conditions. Il suffit de lire le dernier rapport
de la Cour des comptes relatif à « la vente de patrimoine immobilier par la
Régie des bâtiments » pour s'en convaincre : c'est à une véritable dilapidation
du patrimoine collectif que se livre la majorité.
Plus de 30 bâtiments et 2 terrains, propriétés de l'Etat, ont été vendus ces dernières années, pour un montant de 841 millions d'euros, avec la bénédiction de Didier Reynders (MR), ministre de tutelle de la Régie des bâtiments. Citons, entre autres, à Bruxelles : la Tour des finances, la Cité administrative de l'Etat, le
Résidence Palace, et plusieurs bâtiments situés rue Belliard, rue de la Loi et
quai de Willebroek. Aux yeux de la Cour des comptes, ces opérations ne se sont
pas déroulées dans la transparence requise, ni dans un esprit de bonne
gouvernance, et risquent de coûter fort cher demain. Pour quelles raisons ?
Tout simplement parce qu'après s'être défait d'une partie importante de ses
immeubles de bureaux, l'Etat va devoir les relouer pour loger ses
fonctionnaires. Or, épingle la Cour des comptes, « pour certaines ventes
d'immeubles assorties d'une reprise en location, le rapport entre le prix de
vente et le loyer était tellement déséquilibré que les ventes étaient presque
dénuées de sens d'un point de vue financier ». Et c'est un euphémisme. Jugez
plutôt, ainsi que l'a fait récemment l'opposition CDH au travers d'une étude
fouillée. La Tour des finances, vendue au prix de 276 millions : l'Etat s'est
engagé à la louer à l'acheteur pour une durée de vingt-sept ans.
A charge du nouveau propriétaire de désamianter le bâtiment et de le rénover. Pour amortir ces coûteux travaux, le nouveau propriétaire a fixé le loyer à 42,7 millions.
Au total, il en coûtera donc plus d'un milliard d'euros au contribuable belge !
Quant au Résidence Palace, il a été vendu au prix de 2,7 millions, contre
l'engagement de l'Etat de le relouer pour deux ans, pour un loyer annuel de 524
160 euros.
Le loyer versé s'élèvera donc, au total, à 38 % du produit de la vente ! Un autre exemple : le bâtiment situé au numéro 9 de la rue de la Loi a été vendu, fin 2002, pour un montant de 1,6 million. Une bonne année plus tard, il a été loué, par l'Etat, pour une durée de neuf ans. Le loyer s'élève à 402 000 euros par an : au bout de quatre ans, l'acheteur aura déjà récupéré le montant de son achat ! Prenons enfin la Cité administrative de l'Etat : estimée initialement à 74 millions d'euros, elle a finalement été cédée pour 27 millions !
Et, si l'on en croit les intentions de ventes immobilières déjà annoncées par le gouvernement, la fin de l'hémorragie n'est pas pour demain.
Pas de doute : c'est le moment, pour les investisseurs privés un peu avisés, de
faire de bonnes affaires au détriment du contribuable...
____________________________________________________________________________________
A lo mejor hay algún periodista verdaderamente independiente capaz de hacer una
investigación similar con lo que pasa en España.
¡Ánimo!
Marta Sansigre
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment